Arrivé lors du mercato estival dans le club d’Umm
Salal au Qatar, Mourad Meghni pensait sans doute se refaire une santé après des
blessures à répétition et surtout retrouver du temps de jeu. Hélas, il n’en est
rien pour le meneur de jeu algérien, relégué sur le banc de touche. Une
situation qui fait songer l’ancien pensionnaire de Ligue 1 et de Serie A à
migrer vers d’autres cieux lors de l’inter-saison.
Ce n’est surement pas de cette façon que Mourad Meghni envisageait son
expérience qatarie, au moment de s’engager en faveur du club d’Umm Salal. Arrivé
en provenance de la Lazio de Rome cet été, l’international algérien avait pour
ambition de retrouver du temps de jeu et surtout de montrer qu’il en avait fini
avec les blessures. Car, ces dernières saisons, Meghni avait quelque peu disparu
du rectangle vert, la faute à des blessures et rechutes récurrentes.
Sauf que depuis son arrivée au Qatar, le sort ne cesse de s’acharner sur lui et l’ancien Sochalien enchaîne les blessures et les séances de rééducation. Une situation fâcheuse pour son club, qui a dû compter avec ses absences prolongées en lui trouvant un remplaçant en la personne du Sénégalais Mamadou Traoré Baila, ancien du Raja Casablanca. Résultat, le milieu de terrain de 27 ans est quasiment sans compétition depuis le mois de juin. De quoi déjà lui faire songer à mettre un terme à cette expérience en fin de saison.
Un départ déjà programmé
Le Fennec est même monté au créneau auprès de la direction d’Umm Salal pour afficher son mécontentement quant à sa situation et l’a fait savoir au président Fayçal Benhamad. "Je me sens en super forme, j’ai bien travaillé, et ma blessure n’est qu’un mauvais souvenir, même physiquement je me sens bien, et je peux même tenir 90 minutes sans problème", aurait-il expliqué. Le Buteur rapportant que, durant cet entretien, Meghni aurait demandé à bénéficier d’une licence pour jouer, malgré le fait qu’il ne soit encore qu’en phase de reprise. Ce à quoi il se serait vu adressé un refus. Si avec le reste du staff les relations semblent être cordiales, le milieu de terrain n’en reste pas moins amer.
"Je m’entraîne avec mes coéquipiers. Les gens ne me voient pas sur le terrain, car je ne peux pas jouer avec l’équipe. Je ne suis pas inscrit sur la liste officielle des joueurs. Lorsque j’étais en France, les dirigeants ont préféré ramener directement un nouveau joueur qui peut jouer dans l’immédiat", confesse-t-il au quotidien sportif. Une situation qui laisse donc entrevoir un départ dès cet été, le Mouloudia d’Alger suivant sa situation de près. Mais d’ici le mercato, il reste encore temps et il n’est pas dit que Meghni finisse par retrouver le chemin des terrains avant la fin de la saison : "Il reste quelques rencontres en championnat, des matchs de la Coupe du Prince et la Coupe de l’Emir. Donc, c’est très intéressant pour moi", concluait-il, un brin optimiste.
Sauf que depuis son arrivée au Qatar, le sort ne cesse de s’acharner sur lui et l’ancien Sochalien enchaîne les blessures et les séances de rééducation. Une situation fâcheuse pour son club, qui a dû compter avec ses absences prolongées en lui trouvant un remplaçant en la personne du Sénégalais Mamadou Traoré Baila, ancien du Raja Casablanca. Résultat, le milieu de terrain de 27 ans est quasiment sans compétition depuis le mois de juin. De quoi déjà lui faire songer à mettre un terme à cette expérience en fin de saison.
Un départ déjà programmé
Le Fennec est même monté au créneau auprès de la direction d’Umm Salal pour afficher son mécontentement quant à sa situation et l’a fait savoir au président Fayçal Benhamad. "Je me sens en super forme, j’ai bien travaillé, et ma blessure n’est qu’un mauvais souvenir, même physiquement je me sens bien, et je peux même tenir 90 minutes sans problème", aurait-il expliqué. Le Buteur rapportant que, durant cet entretien, Meghni aurait demandé à bénéficier d’une licence pour jouer, malgré le fait qu’il ne soit encore qu’en phase de reprise. Ce à quoi il se serait vu adressé un refus. Si avec le reste du staff les relations semblent être cordiales, le milieu de terrain n’en reste pas moins amer.
"Je m’entraîne avec mes coéquipiers. Les gens ne me voient pas sur le terrain, car je ne peux pas jouer avec l’équipe. Je ne suis pas inscrit sur la liste officielle des joueurs. Lorsque j’étais en France, les dirigeants ont préféré ramener directement un nouveau joueur qui peut jouer dans l’immédiat", confesse-t-il au quotidien sportif. Une situation qui laisse donc entrevoir un départ dès cet été, le Mouloudia d’Alger suivant sa situation de près. Mais d’ici le mercato, il reste encore temps et il n’est pas dit que Meghni finisse par retrouver le chemin des terrains avant la fin de la saison : "Il reste quelques rencontres en championnat, des matchs de la Coupe du Prince et la Coupe de l’Emir. Donc, c’est très intéressant pour moi", concluait-il, un brin optimiste.
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